Evolution du projet
Notre approche c’est que nous avons une base qui est présente et qui ne coût rien de plus pour le démarrage du projet : locaux, collaborateur bénévole, mission non concurrente, sont déjà financés par des bénévoles, des dons de personnes de la région. Le projet peut démarrer sans argent supplémentaire.
Par contre, pour lui donner une certaine envergure et assurer qu’il puisse perdurer sur quelques années, il est bien de pouvoir trouver des financements supplémentaires.
Les ressources et le réseau de base peut permettre à quatre personnes d’être engagée dans des contrats ISP. L’accompagnement d’un chef d’équipe en la personne de François Risch peut se faire lui-même au départ dans un contrat ISP. Le toute superviser par un coordinateur engagé et déjà rémunéré à 10% par les fonds privés d’une autres association partenaire : le CEJ.
Mais pour professionnaliser le concept. Plusieurs temps partiels peuvent être engagé pour la suite.
Etape 1 : Lancement du projet avec les ressources existantes. Les contrats ISP sont encadrés et la coordination se fait sur un 10%. Plusieurs prestations sont offertes par des professionnels bénévoles.
Etape 2 : Financement d’un chef d’équipe à 100%, d’un coordinateur à 20%, d’un secrétaire-comptable à 40%, formateurs pour les bilans de compétences, la formation à l’administration, soutien de projet personnalisé 60%.
Pour cette étape, il faut un budget de 16 000.- à 20 000.- par mois.
Etape 3 : Dimensionner les besoins selon l’efficacité du projet et des besoins réels en évaluant particulièrement les critères suivants :
- Nombres de sénior intéressé et taux réel d’investissement de ces séniors dans le projet (absentéisme, nombre de candidats).
- Nombres de mission non concurrentiel disponibles
- Charge de travail pour l’équipe d’encadrement
- Coût global de l’infrastructure selon les résultats obtenu.
Les partenaires de ce projet sont :
François Risch : participant et acteur fondateur du projet « job-senior » qui, de par son parcours se trouve être dans la cible des bénéficiaires et par ses compétences, indispensable à la coordination des activités de « job-senior ». Son CV et son parcours de vie font de lui un généraliste qui peut accompagner et entourer les premiers participants à cette action.
Eddy Jeanneret : président de l’association du CEJ. Elu au grand conseil du canton de Neuchâtel. Agriculteur bio à la vallée de la Brévine.
Georges Musy : Président de l’association bureau conseil. Coach en insertion pour cadres sur mandat de l’ORP. Formateur à l’école-club Migros.
Sébastien Rollier : Président de l’association JaluCentre. Travailleur social. Curateur. Accompagnateur social à la fondation Morija. Salarié du CEJ pour développer des projets sociaux.
Paula Rollier : Travailleuse sociale à l’ANAAP. Membre du comité JaluCentre.
Anne-Laure Meier : psychologue, intervenante en insertion socio-professionnelle pour les migrants.
Jean-Yves Robert : Agriculteur bio, disposé à donner des missions agricoles « non-concurrentielles ».
Tous les partenaires cités ci-dessus sont disposés à s’investir bénévolement pour la phase pilote de ce projet pour une année.
Sébastien Rollier est payé à 10% par le CEJ pour développer, coordonner, et soutenir le lancement de « job-senior » pendant une année.
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